Category Archives: les alpes

Calendrier de l’Avent #23

Je ne prends pas autant de temps que je voudrais pour écrire ici. J’ai pourtant plein de choses à vous partager. Les listes d’articles en attente se rallongent. J’ai décidé de les jeter pour 2016.
J’ai trouvé une autre idée pour finir cette année où j’aurais voulu tant vous raconter ce que j’ai vécu en cette première année de vie paysanne. Je vais publier une photo par jour du 1er décembre à Noël. Je vous offre mon calendrier de l’Avent. Il n’y aura pas de chronologie ni de logique particulière dans la succession des photos publiées. Elles sont venues à moi comme cela au gré de mes visionnages de mes catalogues Ligthroom.

Calendrier de l’Avent #23

lever de soleil dans le village de RosansLes lumières

Mon appareil photo numérique est toujours à portée de main. Je le saisis au vol quand je passe devant une fenêtre où j’aperçois des lumières qui me plaisent. J’ai une quantité de photos des mêmes points de vues : la fenêtre du bureau dans mon ancien appartement (la photo de cet article), la fenêtre de la cuisine dans la nouvelle maison, l’entrée de la serre, le haut de mon terrain, les prés devant la maison. J’ai progressé dans le jeu des réglages et des cadrages simplement avec cette pratique. Un bon exercice photographique que je n’avais pas planifié.

Calendrier de l’Avent #16

Je ne prends pas autant de temps que je voudrais pour écrire ici. J’ai pourtant plein de choses à vous partager. Les listes d’articles en attente se rallongent. J’ai décidé de les jeter pour 2016.
J’ai trouvé une autre idée pour finir cette année où j’aurais voulu tant vous raconter ce que j’ai vécu en cette première année de vie paysanne. Je vais publier une photo par jour du 1er décembre à Noël. Je vous offre mon calendrier de l’Avent. Il n’y aura pas de chronologie ni de logique particulière dans la succession des photos publiées. Elles sont venues à moi comme cela au gré de mes visionnages de mes catalogues Ligthroom.

Calendrier de l’Avent #16

flore-covillot-0224La Covillot

Je vous parlais récemment de cette flore dans mon article sur les livres à offrir pour débuter en phytothérapie. Je m’en sers dès que je veux identifier une plante. Si la plante est dans la flore, je la colorie (et je la cueille si ce n’est pas une plante rare, ici du lotier corniculé, ne vous en faites pas, cela pousse en très grande quantité).
Je m’étais mis en tête d’identifier une plante par semaine pendant l’été mais je n’ai tenu ma parole que quatre fois. Je réitérerai l’expérience l’été prochain.

Calendrier de l’Avent #11

Je ne prends pas autant de temps que je voudrais pour écrire ici. J’ai pourtant plein de choses à vous partager. Les listes d’articles en attente se rallongent. J’ai décidé de les jeter pour 2016.
J’ai trouvé une autre idée pour finir cette année où j’aurais voulu tant vous raconter ce que j’ai vécu en cette première année de vie paysanne. Je vais publier une photo par jour du 1er décembre à Noël. Je vous offre mon calendrier de l’Avent. Il n’y aura pas de chronologie ni de logique particulière dans la succession des photos publiées. Elles sont venues à moi comme cela au gré de mes visionnages de mes catalogues Ligthroom.

Calendrier de l’Avent #11

salsifis de l'épineLe salsifis de l’Epine

Cette fleur pousse de façon spontanée sur mon terrain. Elle a même réussi à se faire une place dans la serre. Elle m’a tout de suite intriguée. Les plus grands spécimens mesurent presqu’un mètre. Les fleurs sont pourpres-magentas-roses et tranchent nettement avec le vert du reste de la plante.
Un jour, je me suis posée avec ma flore (la « Covillot ») pour la déterminer. Je tombais sans cesse sur le genre Tragopogon mais les espèces présentées n’étaient pas celles que j’avais devant moi. Je me suis donc contentée d’un Tragopogon sp. (sp. en botanique permet de dire que l’espèce n’est pas déterminée). Et puis, lors de ma dernière expo photo à La Bâtie Neuve (toujours l’expo Jack London) au mois de novembre, j’ai trouvé sur un des stands de bouquins un livre sur la flore des Hautes-Alpes. Un peu chauvine, je commence ma lecture sur les chapitres du Serrois et du Buëch. Je vois alors mon petit salsifis ! Et il a un nom : salsifis de l’Epine, l’Epine étant un village proche de Serres sur la route qui mène à Rosans.
Il se trouve que ce nom est attribué par l’auteur mais qu’il n’a pas de valeur botanique. N’empêche, nous avons dans le coin un salsifis endémique, je trouve ça classe.